Gros plan sur le fonctionnement de la vie en copropriété

Gros plan sur le fonctionnement de la vie en copropriété

Avoir des voisins peut être plaisant ou non en fonction des relations qu’on entretient avec eux. Vivre en copropriété ne se limite pas seulement au voisinage. Il y a d’autres relations qu’il faut entretenir avec eux. Ainsi, lorsqu’on vit dans une situation de copropriété, il est obligatoire d’avoir un syndic.

Pourquoi faut-il un bon syndic dans une copropriété ?

Dans une copropriété, la nomination d’un syndic est obligatoire. Et c’est la loi qui l’impose. Il peut être choisi parmi l’un des copropriétaires ou être engagé extérieurement à la communauté. Son rôle sera de réaliser les tâches exécutives de la copropriété. Il va donc se charger de traiter toutes les affaires afférentes à la copropriété : entretien, litige, AG, etc. Le syndic peut être révoqué et remplacé s’il n’assure pas ses fonctions. La première chose qu’il doit garantir, c’est l’organisation de l’assemblée générale annuelle.

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Il n’est pas bon de changer de syndic trop souvent, surtout si on en désigne un qui vient de l’extérieur de la communauté. Le nouveau qui vient de l’extérieur sera toujours obligé de faire l’état des lieux avant de pouvoir travailler efficacement. Ainsi, ce serait une perte de temps de tout le temps en nommer un nouveau. Ce qu’il faut faire, c’est de trouver le meilleur syndic une bonne fois pour toutes. Il est possible de comparer les offres de syndic sur internet. Plusieurs sites proposent divers prix.

Comment se manifeste la vie en copropriété ?

Vivre en communauté n’est pas facile parfois. Faire partie d’une copropriété est encore plus compliqué lorsque les problèmes avec les copropriétaires arrivent. En effet, une copropriété n’est pas différente du fait d’avoir des voisins comme dans toute autre communauté. La seule différence est que dans la situation de copropriété, personne n’est propriétaire du bâtiment où se trouve son logement qui est pourtant bien à lui, ou personne n’est propriétaire de la parcelle de terre où est implantée sa maison. On parle alors de copropriété verticale et horizontale. Elle est verticale lorsqu’il s’agit d’un immeuble commun à des propriétaires d’appartements. Par contre, elle est horizontale lorsqu’elle prend la forme de plusieurs maisons bâties sur une surface commune (ne pas confondre avec lotissement dont les propriétaires sont propriétaires de leur terrain).

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La vie en copropriété, qu’elle soit verticale ou horizontale, nécessite des concessions. C’est alors que dans le cas d’une copropriété verticale, il faut l’accord des autres pour pouvoir procéder à des modifications d’infrastructure. C’est par exemple le cas de vouloir modifier l’esthétisme de l’allée commune. C’est pareil pour le fait de vouloir mettre un grand vase de fleurs devant l’entrée de sa porte. Celle-ci pourrait être considérée comme une gêne à la circulation par les autres copropriétaires. Autre exemple est que lorsqu’arrive le moment où il faudra entretenir le bâtiment (dans le cas d’une copropriété verticale), certains voisins s’y opposeront dans le but de ne pas payer la cotisation. C’est de tels problèmes qu’il faut pallier par la nomination d’un syndic. Ce dernier œuvre pour la bonne gestion d’une copropriété.

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